"Si nous sommes fid�les
� notre vision int�rieure, il viendra un temps o� nos ''D�sirs''
s'�panouiront, o� nos ambitions seront satisfaites, o� notre
id�al m�rira, car tout ceci forme les p�tales renferm�es
dans le bouton de la fleur qui, t�t ou tard, s'ouvrira et r�pandra
son parfum en r�v�lant sa beaut�, sans se fl�trir, et sans
�tre arr�t�e dans sa croissance". -Orison Swett
Marden
On
d�sir ce que l�on ne poss�de pas et on ne d�sire plus ce que
l�on a. Le d�sir est
une "force" d�attraction ou de magn�tisme. C'est une
force qui nous pousse vers l'objet manquant. En ce sens, que
l�on ne d�sire que ce que l�on manque ou ce qui est absent.
Tel un aimant n�gatif qui attire un positif. Les contraires de
la m�me "Nature" s'attire. Rien ne fonctionne
sous vide dans la vie. Le vide attire le plein. L��tat de manque
attire l�abondance. Le d�sir est un attrait, un envie, un
besoin. C�est la volont� d�avoir ou �tre ce que l�on
veut.
Cela
est facile a prouv� d�ailleurs. Par exemple : On d�sire
avoir ou faire plus d�argent, quand l�on manque d�argent ou
quand l�on n�en a pas assez pour vivre. On d�sire l�homme
ou la femme de nos r�ves, par ce que l�on est seul ou que la
personne que l�on est avec ne nous plait plus.
Simple
n�est-ce pas ? La vie est faite de contraste, de divergence
et d�oppos� qui anime ses forces d�attractions et d�opposition
en nous - naturellement et efficacement.La faim est un autre exemple simple de ce principe
spirituel. On a faim car on est en manque de quelque chose. Tout
comme la soif est n�cessaire contre la d�shydratation du
corps.
Les
buts et les r�ves sont bien une aspiration � atteindre l�objet
de notre d�sir. En atteignant c�est choses on trouve plaisir
et satisfaction.
Le
d�sir est consid�r�
soit n�gativement ou positivement. Il est consid�r�
positivement, si l'objet d�sir� est source de plaisir ou de
satisfaction. Et n�gativement lorsqu��tant source de
souffrance, ou d'insatisfaction.
Certains
courant spirituel nous dicte le non d�sir, pour justement ne pas
avoir � souffrir, mais ce qu�il ne comprenne pas, c�est que
s�il ne veule pas souffrir -- il veule donc la pl�nitude, qui
dans un sens est toujours un d�sir ou une volont� d��tre. Le
d�sir n�est pas seulement synonyme de souffrance mais aussi de
plaisir et de satisfaction. Il faut �videmment vivre en �quilibre
entre le d�sir et le non-d�sir. A trop d�sir� on souffre, et
a ne pas assez d�sirez on manque d�enthousiasme, et d�inspiration
cr�atrice.
Le
d�sir qui nait des contraires et que l�on atteint - est donc
synonyme de plaisir, mais si le d�sir n�est pas combl� -- il
devient source de souffrance - car c�est encore une fois ce sentiment
de vide ou de manque que l�on ressent dans nos tripes.
Le
gout de vivre est cette envie, ce d�sir d�accomplir quelque
chose, au contraire de la d�pression - d�o� l�on a plus le
gout de rien. La vitalit� est ce d�sir, cet app�tit qui nous
motive � obtenir l�objet ou le sujet tant souhait�.
Le
d�sir est le propre de l�homme, dans la mesure o� il consiste
pr�cis�ment en une soif au
sein de l��tre humain, entre ce qu�il est et ce qu�il imagine
qu�il pourrait �tre ou avoir.
On recherche le bonheur, car on ne la pas, ou pour �tre plus
heureux. On doit trouver ce que l�on cherche. C�est une perp�tuelle
danse entre la joie, le plaisir, la peine et la douleur, pour ensuite
retrouver cet �tat joyeux et satisfait.
Le
d�sir est la � Roue de la Vie �, avec ses hauts, ses
milieux et ses bas et toute une gamme d��motions et de sensations
dans ce cercle infinie de notre existence, qui contribue � l��closion
de nos d�sirs et � l��mergence et la perp�tuation de la vie
m�me.
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